Michel Onfray sait-il vraiment où il met les pieds lorsqu’il évoque les « statistiques ethniques », un sujet sur lequel les démographes français s’étripent depuis des décennies ?
Comment doit-on compter les Français ? Et avec quels outils ? Faut-il vraiment distinguer les Français « de souche » des autres ? Dans les couloirs de l’Institut national d’Études démographiques et depuis peu devant les tribunaux,